Roman2016
Les obus jouaient à pigeon vole
ÉditeurÉditions Bruno Doucey
Pages177
Année2016
ISBN978-2362290947
Synopsis
1916 : tranchée de première ligne, au lieu dit le Bois des Buttes. Le 17 mars, vers seize heures, le sous-lieutenant Kostrowitzky, dit Guillaume Apollinaire, engagé volontaire surnommé Cointreau-whisky, est atteint à la tempe par un éclat d'obus. Un cruel compte à rebours retrace les vingt-quatre heures précédant l'impact.
La camaraderie, la trouille, les infimes moments de calme, la musique des bombes, une odeur qui surgit dans le soir, la faim, la paix qu'on attend, la mort qui vague, le souvenir de l'amour... - c'est cette curieuse alchimie que saisit le récit de Raphaël Jerusalmy, montrant Apollinaire, l'artiste, le combattant, le soldat de l'art, traquant la poésie jusque dans la bataille.
La guerre pourrait au moins servir à ça : vivre chaque minute comme si demain n'existait pas, écrire chaque ligne comme si c'était la dernière.
La camaraderie, la trouille, les infimes moments de calme, la musique des bombes, une odeur qui surgit dans le soir, la faim, la paix qu'on attend, la mort qui vague, le souvenir de l'amour... - c'est cette curieuse alchimie que saisit le récit de Raphaël Jerusalmy, montrant Apollinaire, l'artiste, le combattant, le soldat de l'art, traquant la poésie jusque dans la bataille.
La guerre pourrait au moins servir à ça : vivre chaque minute comme si demain n'existait pas, écrire chaque ligne comme si c'était la dernière.
Extrait
« Les obus dessinaient une calligraphie invisible au-dessus de la ligne de tranchée. »